https://www.google.com/maps/d/viewer?ll=45.53804343741328%2C2.4824025000000347&fbclid=IwAR2IGAlpawMkSjopuj59_Upv5GUuQKVXLwZIn8xaL3BUa-EyvuSI4jKEkOU&z=5&mid=1KpiLiS657xM-oR5eBHFSvP9lQM2Eyruh
mardi 30 octobre 2018
thunderstruck , tonnerre...... 17 novembre 2018 .
voici la carte de mobilisation pour le 17 novembre.
https://www.google.com/maps/d/viewer?ll=45.53804343741328%2C2.4824025000000347&fbclid=IwAR2IGAlpawMkSjopuj59_Upv5GUuQKVXLwZIn8xaL3BUa-EyvuSI4jKEkOU&z=5&mid=1KpiLiS657xM-oR5eBHFSvP9lQM2Eyruh
https://www.google.com/maps/d/viewer?ll=45.53804343741328%2C2.4824025000000347&fbclid=IwAR2IGAlpawMkSjopuj59_Upv5GUuQKVXLwZIn8xaL3BUa-EyvuSI4jKEkOU&z=5&mid=1KpiLiS657xM-oR5eBHFSvP9lQM2Eyruh
jeudi 11 octobre 2018
dimanche 5 novembre 2017
vendredi 3 novembre 2017
La gestion bio des espaces verts
La loi va interdire l'utilisation des pesticides dans les espaces verts publics à partir de 2020. Zero phytho, la commune d'Aurignac n'a pas attendu cette obligation pour mettre en place de nouvelles méthodes de travail et des solutions alternatives propres à éviter l'intervention chimique.
La municipalité a renoncé à l'emploi de produits phytosanitaires (herbicides, fongicides et insecticides) mais lutter contre les mauvaises herbes nécessite forcément d'autres mesures. Dans ce but, les services de la ville ont remanié tous les espaces fleuris en posant au préalable une bâche sur laquelle sera pratiquée un nouveau mode de fleurissement. Ces nouveaux massifs, que l'on peut voir à l'entrée de la commune ou place du foirail, sont composés de plantes xérophytes (adaptées au milieu sec).
Des variétés vivaces comme les gaillardes, pourpiers, photinias ou autres gauras sont privilégiées. Ces plantes se veulent moins exigeantes en entretien et sont moins gourmandes en eau. Les jardiniers de la ville, Jean Luc Duclos, Nicolas Fumery et Georges Portes arrachent désormais les mauvaises herbes à quatre pattes mais ils s'organisent pour diminuer les espaces à désherber. Par exemple, ce printemps ils ont planté quelque mille bulbes pour végétaliser les bords de trottoirs de manière à affaiblir les mauvaises herbes.
Cette démarche municipale cherche aussi à montrer l'exemple auprès de tous les utilisateurs qu'il faut convertir au «zero phyto»
sources http://www.ladepeche.fr/article/2016/06/18/2367921-la-gestion-bio-des-espaces-verts.html
dimanche 29 octobre 2017
LE BELOUKHA : UN DÉSHERBANT REDOUTABLE, FRANÇAIS... ET 100% NATUREL !
Les pesticides polluent nos terres et ruinent notre santé. Pourtant, beaucoup s’accordent à dire que, faute d’alternatives efficaces, il serait impossible de s’en passer. C’est faux ! La preuve avec le Belhouka, un désherbant français, performant… et 100% naturel !
Installée en Gironde, Jade est une société « spécialisée dans la recherche et le développement de nouvelles solutions pour la nutrition et la protection des plantes. » Son produit phare ? Le Beloukha.
Conçu à base d’huile de colza en partenariat avec l’université de Shangaï, ce redoutable désherbant vous débarrasse des mauvaises herbes en un temps record tout en préservant les qualités de la terre, la santé de l’agriculteur et celle du consommateur ! Un véritable tour de force qui mérite bien une petite démonstration…
La vidéo ci-dessous a été tournée en 2013, dans un vignoble. En quelques secondes, il donne toute la mesure de la puissance du Beloukha. Regardez :
Deux à trois heures suffisent au Beloukha pour achever son travail, sans aucun préjudice ni pour l’homme, ni pour l’eau, ni pour le sol, ni pour l’air. Il se biodégrade en deux jours seulement et son effet persiste entre deux et trois semaines !
Déjà homologué pour la culture du raisin et des pommes de terre, le Beloukha devrait être commercialisé dès 2017 auprès des particuliers. Un sérieux concurrent au Roundup de Monsanto ? On l’espère !
source https://positivr.fr
lundi 15 mai 2017
Et si vos laitues poussaient mieux grâce à une intelligence artificielle ? article 01net
L’agriculture n’est pas forcément le premier domaine auquel on pense quand on parle d’intelligence artificielle. Pourtant, une start-up américaine a prouvé l’intérêt de recourir à l’apprentissage machine pour améliorer la production… de salades.
L’intelligence artificielle est partout, dans nos smartphones, dans nos voitures et même… dans nos saladiers. A l’occasion de la GTC 2017, Lee Redden est venu raconter des salades. Plus exactement, il a présenté le quotidien de la société qu’il a cofondée, Blue River Technology, dont il est également le directeur technique.
Le Skynet de la mauvaise herbe
Résumé à l’extrême, cela donnerait « il désherbe grâce à une intelligence artificielle », et on pourrait rouler des yeux et passer à autre chose. Mais ce qu’ont fait Lee Redden et ses équipes, c’est bien plus que cela. Constatant que les produits désherbants chimiques coûtaient une fortune, étaient épandus sans réflexion et sans prise en compte des spécificités de chaque parcelle, et surtout qu’ils étaient de moins en moins efficaces contre les mauvaises herbes, ils ont mis au point une machine qui permet de désherber intelligemment les hectares de champs de laitues qui poussent aux Etats-Unis.
Le principe est assez simple et logique. Il y a d’une part, la partie logicielle, qui tourne désormais sur une puce Nvidia TX1, et fait appel à la vision par ordinateur et à l'apprentissage machine. Et, d’autre part, les modules physiques connectés à l’unité de calcul centrale qu’on accroche à l’arrière du tracteur. Ces modules ressemblent à de grosses boîtes aux lettres qui contiennent des néons éclairant le sol et permettent aux caméras de filmer jour et nuit les mauvaises herbes sous 25 angles différents. Les caméras sont placées à l’avant et l’arrière du module. C’est également dans ce module qu’on trouve un système de buses, assez proche de celui d’une imprimante à jet d’encre.
Faire la différence
Lee Redden et ses équipes ont donc commencé par apprendre à un algorithme de reconnaissance visuelle à faire la différence entre des pieds de laitue et des mauvaises herbes. Avec pour défi que le processus soit rapide et efficace. Ce qui n’était pas chose aisée, car les mauvaises herbes sont traitées alors qu’elles sont encore toute petites, compliquant la tâche de la reconnaissance d’image qui peine à les repérer. Des mois d’optimisation ont été nécessaires pour trouver le bon compromis entre une résolution assez haute pour offrir une reconnaissance facile et un flux vidéo pas trop lourd pour permettre un calcul en temps réel.
Il a ensuite fallu s’assurer que l’ensemble de données complet, permettant à l’intelligence artificielle de savoir quelle plante traiter, soit mis à jour régulièrement pour ne pas dire quotidie
Dès lors, les équipes de Blue River Technology fonctionnent en deux passages. Un premier, où sont localisées toutes les plantes. Un second où l’IA s’assure que tout est comme au premier passage et où le traitement est appliqué sur les mauvaises herbes et uniquement sur elles, via une micro pulvérisation.
Une réussite en chiffres
Le cofondateur de la jeune pousse donne quelques chiffres pour illustrer le succès de son système, adopté pour 10% des laitues produites aux Etats-Unis au cours des trois dernières année.
L’application des désherbants se fait à une vitesse oscillant entre 10 et 12 Km/s, ce qui est plutôt rapide. Ensuite, la méthode Blue River réduit par un facteur minimal de 10 et maximal de 100 la quantité de produits chimiques utilisés. Quand on connaît les risques de pollution des nappes phréatiques, sans parler même de ce qu’on retrouve dans nos salades, on ne peut que s’en réjouir. Et ce sont autant d’économie pour les agriculteurs.
Enfin, dernier chiffre, la méthode « intelligente » aboutit généralement à une augmentation de la production de l’ordre de 5 à 10%, selon Lee Redden.
L’application des désherbants se fait à une vitesse oscillant entre 10 et 12 Km/s, ce qui est plutôt rapide. Ensuite, la méthode Blue River réduit par un facteur minimal de 10 et maximal de 100 la quantité de produits chimiques utilisés. Quand on connaît les risques de pollution des nappes phréatiques, sans parler même de ce qu’on retrouve dans nos salades, on ne peut que s’en réjouir. Et ce sont autant d’économie pour les agriculteurs.
Enfin, dernier chiffre, la méthode « intelligente » aboutit généralement à une augmentation de la production de l’ordre de 5 à 10%, selon Lee Redden.
Plus intelligente et plus libre
La laitue sort donc victorieuse de sa rencontre avec l’intelligence artificielle. Mais, outre ce gain dans la production, la bonne nouvelle est que cette solution technologique offre plus de libertés aux agriculteurs, expliquait Lee Redden. Plus de libertés dans les produits à utiliser – là où l’épandage à grande échelle, semble n’offrir que quatre ou cinq choix, il serait ici possible d’opter pour plusieurs dizaines, voire centaines de traitements.
Plus de liberté également dans les méthodes de désherbage. La méthode de détection est en effet complètement décorrélée de la méthode de destruction, il est donc tout à fait possible d’utiliser des lasers ou des impulsion électriques – même si les produits chimiques sont les plus rapides donc les plus rentables.
Et enfin, et peut-être surtout, plus de liberté grâce à ce microciblage. Les agriculteurs peuvent ainsi couper les ponts avec des semences propriétaires que seuls des acteurs comme MonSanto écoulent – les laitues n’ont plus besoin d’être génétiquement résistantes aux désherbants utilisés vu qu’elles ne sont plus directement traitées.
Plus de liberté également dans les méthodes de désherbage. La méthode de détection est en effet complètement décorrélée de la méthode de destruction, il est donc tout à fait possible d’utiliser des lasers ou des impulsion électriques – même si les produits chimiques sont les plus rapides donc les plus rentables.
Et enfin, et peut-être surtout, plus de liberté grâce à ce microciblage. Les agriculteurs peuvent ainsi couper les ponts avec des semences propriétaires que seuls des acteurs comme MonSanto écoulent – les laitues n’ont plus besoin d’être génétiquement résistantes aux désherbants utilisés vu qu’elles ne sont plus directement traitées.
Une fois encore l’intelligence artificielle pourrait bien générer une petite révolution, qui, si tout va bien, se terminera dans vos saladiers.
dimanche 30 avril 2017
La base de données Floriscope est née !
Floriscope, lancé par Plante & Cité et l’Interprofession Val’hor, entend devenir un outil incontournable pour les professionnels du végétal et les paysagistes : cette base de données validée scientifiquement et accessible librement sur le web, va regrouper plus d’une centaine de milliers de références de végétaux.
Fruit d’un travail de longue haleine qui aura durée 6 années, la plateforme web Floriscope (anciennement le projet Végébase), met à disposition des professionnels de l’horticulture et des paysagistes, mais aussi des particuliers passionnés de jardin, une base de données, validée scientifiquement, répertoriant des milliers d’espèces et de variétés de plantes. Cette base de données en ligne a été présentée officiellement le 30 mars à Paris par l’association Plante et Cité, créateur de cette application, avec le soutien financier de l’interprofession Val’hor et du Conseil Régional des pays de la Loire. Une vingtaine de partenaires scientifiques et techniques, une trentaine de collections végétales et enfin une cinquantaine de professionnels de la production ont également contribué à son contenu.
La plateforme devrait atteindre plus de 100 000 références de plantes (auxquelles s’ajoutent 58 000 noms synonymes), sachant qu’une grande partie est d’ores et déjà publiée. Cette base colossale se matérialise pour une interface conviviale et qui vise à offrir un usage fonctionnel pour les professionnels.La recherche repose sur un moteur intelligent, capable de tenir compte des approximations orthographiques de noms de plante (y compris des références en latins). Des filtres de recherche autorisent également à définir de nombreux critères, certains assez pointus : vitesse de croissance, période de floraison, hauteur maximale, acidité du sol, résistance au compactage, profil racinaire, couleur automnale, période de fructification, ramification… Une liste de plantes définies par ces filtres est ensuite proposée, chacune avec sa fiche d’identité. Pas moins de 5000 fiches et 15 000 photos sont déjà en ligne, et l’équipe du site intégrera de nouveaux éléments en continu.
Parmi les fonctions notables pour les professionnels :
- la possibilité de mettre des plantes en « favoris » et de créer des listes de végétaux, dans le cadre d’un projet paysager par exemple
- la possibilité de consulter des tableaux synthétiques des caractéristiques des plantes choisies
- une fonction de géolocalisation avec une carte affichant en France les endroits où l’on peut observer et trouver la plante recherchée
- la grande complémentarité et la mise en relation avec le site en ligne Végéstock (les 2 sites renvoient l’un vers l’autre) pour consulter les stocks de végétaux et les réserver auprès des producteurs
- la mise en relation avec par un chat en direct avec les gestionnaires du site pour obtenir une aide ou signaler un complément d’information, une erreur, etc.
Ces fonctions sont accessibles après avoir créé un compte personnel gratuit.
L’ensemble de la filière professionnelle semble unanime pour décrire les avantages de cette plateforme : un gain de temps appréciable pour les paysagistes pour qui établir un plan de végétaux est habituellement long et couteux, un outil qui uniformise les connaissances, auparavant dispersées, pour toute la filière grâce à une nomenclature rigoureuse et homogène, scientifiquement approuvées pour décrire les plantes. Florsicope pourra aussi valoriser de nouveaux végétaux ou des collections gagnant à être mieux appréciés et enfin servir de support pédagogique pour les écoles du paysage et de l’horticulture.Bref, un outil qui ne demande qu’à être accaparé par l’ensemble des acteurs de la filière.
Accéder au site : http://www.floriscope.io/
source https://www.materiel-paysage.com/la-base-de-donnees-floriscope-est-nee/
vendredi 6 janvier 2017
une plante carnivore pour piéger les frelons asiatiques
C'est au laboratoire montpelliérain de Botanique et Modélisation d'Architecture des Plantes et des végétations (AMAP) qu'est née cette idée folle : utiliser les plantes carnivores pour lutter contre la propagation de la Vespa velutina, ou frelon asiatique.
Le frelon asiatique, responsable de la disparition de milliers d'abeilles
Recensé pour la première fois en France en 2004 dans le Lot-et-Garonne, cet insecte aux piqûres extrêmement douloureuses est responsable de la disparition de milliers d'abeilles. À ce jour, seule une dizaine de départements de l'est de l'hexagone est épargnée par le fléau.
En 2015, le jardin botanique du muséum de Nantes a reporté que la plante carnivore Sarracenia pouvait piéger jusqu'à 50 % de frelons asiatiques. « Elle sécrète probablement une odeur spécifique pour les attirer puis les emprisonne et les digère dans ses feuilles en forme d'urne », explique Laurence Gaume-Vial, chargée de recherches CNRS à l'AMAP, écologue et spécialiste des plantes canivores. « J'ai donc eu l'idée d'identifier cette substance odorante pour l'utiliser dans un piège artificiel biomimétique contre le frelon asiatique ».
Des expériences en cours
En réalité, la Sarracenia se nourrit également d'autres insectes comme les guêpes et les mouches. C'est pourquoi Laurence Gaume-Vial et son équipe cherchent à caractériser avec précision les composés volatils qui dans l'odeur attirent les frelons, et seulement les frelons. Depuis début 2016, trois dispositifs expérimentaux constitués de ruches et de quatre espèces différentes de Sarracenia sont installés à l'AMAP, dans la pépinière gersoise "Le jardin carnivore" et à la cité des insectes Micropolis dans l'Aveyron.
« L'objectif est de savoir quelle espèce de Sarracenia attire le plus de frelons et en quelles proportions, en fonction de leur couleur et des substances qu'elles sécrètent. Une fois que nous saurons quelle combinaison odeur-couleur est la plus efficace, nous pourrons nous en inspirer pour développer un piège artificiel », éclaire la chercheuse.
87 départements français touchés
Originaire de Chine, la Vespa velutina est arrivée en France par bateau, sans doute par l'intermédiaire d'une reine fécondée, cachée dans une poterie à bonzaï. Un des premier colis de ces poteries a été livré au printemps 2004 dans le Lot-et-Garonne et c'est là qu'est apparu le premier nid. Aujourd'hui, 87 départements français sont touchés, ainsi que le nord de l'Espagne et du Portugal.
« Nous avons été relativement malchanceux car si le premier frelon était arrivé en hiver, il serait tout simplement mort. Mais la reine a découvert la France au printemps, donc dans des conditions climatiques très favorables à sa reproduction », détaille Claire Villemant, chercheuse au Museum national d'histoire naturelle, spécialiste du frelon.
« En outre, plusieurs études scientifiques s'accordent à dire que le Sud-Ouest est particulièrement propice à la multiplication de cet insecte car on y trouve un climat similaire à sa région d'origine en Asie ».
Depuis l'arrivée du frelon asiatique en France, plusieurs équipes de chercheurs travaillent à un piégeage par phéromone mais sans aucun résultat concluant.
samedi 1 octobre 2016
samedi 5 avril 2014
Honda Nouveau record de vitesse pour la Mean Mower
La tondeuse Mean Mower du constructeur Honda vient de battre son propre record de vitesse, établi à 160 km/h l'été dernier, en frôlant cette fois les 190 km/h!
Oui, vous avez bien lu, 190 km/h au volant d'une tondeuse! Ce record, établi le 8 mars 2014 sur le circuit d'essai espagnol d'Idiada à Tarragone, a même été validé par les juges du très sérieux Livre Guinness des Records. Avec très exactement 187,60 km/h, la Mean Mower de Honda devient ainsi "la tondeuse la plus rapide du monde", améliorant de près de 45 km/h le précédent record enregistré au Guinness Book.
Ce prototype a été conçu à partir du tracteur-tondeuse grand public HF2620 de chez Honda. Entièrement refondu, il a notamment été équipé d'un moteur surpuissant : un V2 de 1000 cm3développant 109 chevaux! Avec un poids de seulement 140 kg, la Mean Mower possède ainsi un rapport poids/puissance exceptionnel de 1,28 kg/ch (pour vous donner une idée, il est d'environ 0,7 pour une Formule 1 et monte à 1,9 pour une Ferrari Enzo de 660 ch).
En vitesse de pointe, la machine monte jusqu'à 210 km/h (pour être homologuée, la vitesse doit être mesurée sur une distance de 100 m).
Pour l'anecdote, le pilote aux commandes de l’engin au moment du record était Piers Ward, de l’émission britannique “TopGear Magazine” (BBC).
Voici la vidéo du record, mise en ligne par Honda :
Retrouvez d'autres vidéos de la Mean Mower lors du précédent record établi à l'été 2013.
Robomow Quand la tonte se commande par Smartphone
Robomow, marque de Friendly Robotics, lance une ligne de robots de tonte que les utilisateurs peuvent commander à distance via une application gratuite installée sur leur Smartphone. Une sacré évolution !
La nouvelle application Robomow APP se fait via un SmartPhone. Elle élargit le champ des possibles puisque le possesseur d’un robot va pouvoir le commander à distance. Il pourra : interrompre les automatismes en commandant la tonte, renvoyer le robot à sa base, le stopper, revenir à la gestion automatique, inviter d’autres utilisateurs à contrôler le robot… Le possesseur sera aussi informé directement par Robomow sur son SmartPhone des évolutions techniques, pourra être aidé à distance, recevoir des diagnostics.
Cette application accompagne la nouvelle gamme des tondeuses Robomow qui comprend des modèles dédiés aux petites et moyennes surfaces de moins de 200 à 600 mètres carrés, les RC302, 304 et 306, commercialisés à des prix de vente de 899 euros à 1299 euros. Les RS612 et 622 et 630 correspondent de leur côté aux grands espaces et se situent dans une fourchette de prix allant de 1799 à 2699 euros, le plus gros modèles de la gamme peut assurer la tonte jusqu’à 3000 mètres carrés.
Pour faciliter la compréhension de l’offre et le choix, le constructeur a mis en place un site internetwww.robomow.com où il est possible de sélectionner son modèle en fonction de sa pelouse avecRobomap, un service basé sur Google Map qui permet de mesurer la taille de sa pelouse.
JPR - Posté le 14/03/2014
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